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  1. La population de réfugiés atteint presque les 10 millions, indique un rapport de l’UNHCR

    GENEVE, 19 juin (UNHCR) – L’agence des Nations Unies pour les réfugiés a annoncé mardi que le nombre des réfugiés à travers le monde avait augmenté pour la première fois depuis 2002, en grande partie du fait de la crise en Iraq.

    Dans son rapport intitulé « Tendances mondiales en 2006 » et publié aujourd’hui, l’UNHCR indique que le nombre de réfugiés qui relèvent de son mandat a augmenté de 14 pour cent l’année dernière, pour atteindre presque dix millions, son niveau le plus élevé depuis 2002. Parallèlement, la part des autres catégories de personnes relevant des différents mandats de l’agence s’est aussi fortement accrue, principalement grâce à des systèmes d’enregistrement plus performants et à des statistiques plus précises.

    « Alors que le nombre de personnes déracinées par la persécution, l’intolérance et la violence à travers le monde augmente, nous devons faire face aux défis et aux demandes d’un monde en transformation, tout en restant fidèles à notre mandat de défense des droits des réfugiés et des autres personnes dont nous nous occupons », a déclaré le Haut Commissaire pour les réfugiés António Guterres. (…)

    http://www.unhcr.fr/cgi-bin/texis/vtx/news/opendoc.htm?tbl=NEWS&id=467785bb4

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  2. Gaza: What is happening and why it is important

    06/14/2007
    http://www.mideastweb.org/log/archives/00000596.htm

    The Middle East policy of the United States is suffering an unmitigated catastrophe as I write these words. The U.S. is suffering a policy disaster that may be worse in the long run than the Iraq debacle, but apparently nobody in the state department understands this. The Palestinian national cause is likewise suffering a second Nakba, a disaster as bad or worse than that of 1948. We Israelis too, have a new threat on our southern border. The astounding thing is that nobody at all seems to care very much, and everyone goes about business as usual, as if nothing happened.

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  3. Par MathiasMalko, mardi 19 juin 2007 à 23:28 dans Général / Actualité
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    Le travail des bénévoles de Ni putes, ni soumises auprès des jeunes est souvent utile. Loin de moi l’idée de le nier. D’ailleurs, comment critiquer le Guide du Respect ou les différentes campagnes de l’association contre les violences faites aux femmes ? De Canal+ à Euro RSCG, il est forcément de bon ton de soutenir NPNS. A gauche, mais aussi à droite, dans un même élan évidemment dénué de toute arrières pensées : des militantes de l’association n’ont-elle pas carrément joué les Marianne géantes sur la façade de l’Assemblée nationale, à l’initiative d’un certain Jean-Louis Debré, qui est loin d’avoir bonne presse dans le monde associatif ? Au moment de cette initiative très médiatique, certains avaient (déjà) souligné le téléscopage des symboles… D’autres y avaient vu un besoin de reconnaissance par l’Institution…

    Alors que la présidente de NPNS, Fadela Amara, a intégré aujourd’hui le gouvernement Fillon au poste de secrétaire d’Etat en charge de la politique de la ville, les réactions à cette nomination ont été contrastées. Si Malek Boutih, pourtant secrétaire national au Parti socialiste chargé des questions de société, a applaudi des deux mains en apprenant la nouvelle, celle-ci a suscité émoi et débats au sein même de l’association. « Cette nomination me pose question au regard des missions que s’assigne le mouvement. Il me semble qu’il y a une contradiction avec le fait d’appartenir à un gouvernement qui n’a rien mis en place dans les banlieues pendant ces cinq dernières années, et qui a en plus à sa tête un homme qui a tenu des propos douteux sur les jeunes issus de l’immigration », a tonné aujourd’hui Christine Prizac, administratrice de NPNS pour le Loiret et responsable local du planning familial. Frédéric Iribarne, responsable du comité de Pessac (Gironde) et vice-président du mouvement, s’est, lui, déclaré satisfait de la voir prendre des responsabilités au niveau national, soulignant que Fadela Amara « est une femme qui a besoin d’être dans la lumière et d’avoir les moyens d’agir ». Pour la lumière, c’est le gros lot, pour les moyens d’agir, l’avenir le dira.

    En Seine-Saint-Denis, les réactions ont été vives et négatives. Le mot « trahison » résume le sentiment général. Sa démission de la présidence de NPNS est réclamée par certains, tandis que d’autres ont annoncé leur intention de quitter purement et simplement le mouvement, avec l’impression que Fadela Amara a accepté ce poste pour son seul confort. A nouveau un besoin de reconnaissance par l’Institution ?

    Une chose est sûre, Fadela Amara n’a rien d’une « fille de ». Née en 1964 à Clermont-Ferrand, elle est issue d’une famille algérienne kabyle de dix enfants : un père ouvrier en bâtiment la semaine, sur les marchés le week-end, une mère femme au foyer. En 1978, à l’âge de 14 ans, elle assiste adolescente et impuissante au drame qui va changer sa vie. Son frère Malik meurt renversé par une voiture. Un drame suivi d’une deuxième injustice, quand voit des policiers défendre le chauffard sur les lieux même de l’accident. Peu de temps après, bien avant d’être majeure, Fadela Amara commence à militer : elle participe ainsi à la première marche civique à Clermont-Ferrand pour l’inscription des jeunes sur les listes électorales. Et dès l’âge de 16 ans, quand la mairie décide de raser entièrement son quartier, elle fait alors du porte-à-porte pour mobiliser les habitants et en obtenir la réhabilitation. Le début d’une vie de militante… de gauche ?

    Etiquetée à gauche, elle l’est en tout cas légitimement pour avoir fait partie de SOS Racisme durant de longues année, et pour avoir été élue conseillère municipale du PS en 2001 à Clermont-Ferrand. Mais c’est en 2003 que le grand public découvre Fadela Amara, quand elle organise à travers la France la médiatisée (médiatique ?) « marche des femmes contre les ghettos et pour l’égalité ». Dynamique et bonne cliente des médias, rompue au débat militant, cette fille d’immigrée revendique autant ses origines algériennes que son identité auvergnate. Elle incarne évidemment le type de success story dont Nicolas Sarkozy raffole. Les deux personnages se connaissent d’ailleurs bien, chacun louant la franchise de l’autre. Mais jusqu’à présent, il était toutefois de les imaginer dans le même bateau. S’agit-il d’un énième débauchage parmi les électrons libres pétris d’égo évoluant à la marge du PS, Kouchner en tête, ou alors d’un réel ralliement d’une sarko-compatible qui tombe à pic pour incarner à la fois la mixité et la « diversité » ? La deuxième solution n’est pas la moins crédible, tant l’argumentation de Fadela Amara a parfois de quoi laisser perplexe à gauche.

    Pour faire court, la nouvelle secrétaire d’Etat de « Fillon 2 » a une fâcheuse tendance à la stigmatisation. Ainsi, lorsqu’elle dénonce, à raison, les violences faites aux femmes, notamment dans les banlieues, elle met volontiers tous les garçons de cité dans le même (mauvais) sac. Quoi de plus sarko-compatible en vérité ? Et quand elle défend la laïcité, comme lors du débat sur le port du voile à l’école, la présidente de NPNS donne trop souvent l’impression de pointer d’un doigt accusateur (en tout cas méfiant) les musulmans dans leur ensemble.

    Mais alors qu’elle est nommée au ministère de la Ville sous l’autorité de Christine Boutin (!), c’est sur son action et la liberté de ton qu’elle affirme pouvoir conserver, qu’il faudra la juger. Homme de gauche embarqué sur la galère Sarkozy, Martin Hirsch avait tenu plus ou moins le même discours optimiste. Après une vague ruade dans les premiers jours suivant sa nomination, on ne l’a quasiment plus entendu depuis. Il est resté sagement muet durant la campagne des législatives. Mais ce serait évidemment du mauvais esprit d’y voir quelconque consigne, le Haut commissaire était surement trop occupé pour faire entendre sa liberté de ton, par exemple sur la TVA sociale !

    Ceci étant dit, voici deux vidéos pas inintéressantes, glanées sur Dailymotion : la première incite à penser que Fadela Amara sera difficilement sarko-compatible, la deuxième brouille les cartesr…

    1 / Fadéla Amara est contre la discrimination positive
    Elle l’explique (à mauvais escient) lors d’une tournée sur un marché parisien pendant la campagne pour le premier tour des législatives, où la fondatrice de Ni Putes Ni Soumises était venue soutenir le plus tout jeune proche de Jean-Pierre Chevènement et ultra-laïc Michel Charzat. Pas vraiment un membre de la bande à Sarko ! Une précision : Georges Pau-Langevin était la candidate officielle du PS dans la circonscription, ce qui n’a pas empêché Charzat de se présenter quand même, glosant à tort sur le registre « elle est là parce qu’elle est noire et que c’est une femme », refrain repris par Amara. Pas très glorieux… Au final Charzat n’a pas passé le premier tour et Langevin a été élue dimanche dernier.

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  4. @Z’Ami(e)s:

    Bientôt une année de blogging… La fiesta se prépare… Gardez des forces pour une célébration…

    Et peut-être une Performance…

    Les détails pratiques – comme on dit – vous seront communiqués mano a mano…

    Love,
    Yours,
    Clau

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  5. Born in an ice cream

    Le Calamar attend l’orage

    Déjà passé sur le Jura

    Dogville is not sleeping

    Hot day…

    How high the Moon?

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  6. Julio lo tiene todo…
    la ferveur populaire, quand elle est partagée avec sincérité, c’est « vacamente » beau!!!!
    au coeur de l’arène, le toréro a finalement réalisé qu’il en sortira les pieds devant… les oreilles et la queue coupée….

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